Vous ne me voyez pas                                                 

 Je me suis transformée,                                           

 En une petite brise 

Tendez-moi la main,

Je vous soufflerai dessus.  

Dans la nuit noire,

Je vous montre mon chemin

Suivez-le,

Il vous guidera vers d’autres

LA PIOTTE

            J’ai connue cette chose

Que personne ne connaissait 

C’était mon double fusionnel      

Ma moitié division elle          

Mon égal

Celui qui sommeillait  en moi.

Cet animal survolait  chaque jour   

Mon champ de bataille

Il surveillait le téléchargement de mon mobile

 Transférant mes bruits               

Vers un baladeur remplit de souvenirs

Face à ce miroir

Je regardais sa mobilité ou je ne pu zapper mes angoisses

De peur de laisser entrer un cheval de Troie  enfuit dans mon histoire   Laissant échapper un crescendo de rires et de larmes.

Escagasser par cette chose

Je n’ose faire remue méninges

En mélangeant haines et  douleurs

De mon cœur  

Je voulais chasser cette galère

En  choisissant une autre variante

Celle du bonheur bien sûr  

Mais ce mentor ne voulait plus quitté

Cette  enveloppe

Puisqu’il tenait une forte emprise

Tellement forte et  fusionnel

Que je n’avais plus le courage de le supprimé

Puisqu’il faisait partie de ma vie 

                            Lapiotte

 je suis un voilier amarré dans le fleuve
du temps
Ma coque est le pilier de la chair humaine
Du haut de mon mât

   j' observe le bleu de
l'océan
Cahoté par les tempêtes et les vagues des
tourments
Mon regard perçant traverse la brume de
l' enclume
En transportant ma fumée
Un ouragan trace un ruisseau
où s' écoulent les veines
de vie
Chassant les tristes couleurs du mauvais
temps
Pourtant il était beau ce voilier
Il naviguait dans un chenal du
bonheur
il reflétait la beauté de
la vie
Avant de se perdre dans
l' infini

ramoule

je suis un voilier amarré dans le fleuve
du temps
Ma coque est le pilier de la chair humaine
Du haut de mon mât j' observe le bleu de
l'océan
Cahoté par les tempêtes et les vagues des
tourments
Mon regard perçant traverse la brume de
l' enclume
En transportant ma fumée
Un ouragan trace un ruisseau
où s' écoulent les veines
de vie
Chassant les tristes couleurs du mauvais
temps
Pourtant il était beau ce voilier
Il naviguait dans un chenal du
bonheur
il reflétait la beauté de
la vie
Avant de se perdre dans
l' infini

je suis un voilier amarré dans le fleuve
du temps
Ma coque est le pilier de la chair humaine
Du haut de mon mât j' observe le bleu de
l'océan
Cahoté par les tempêtes et les vagues des
tourments
Mon regard perçant traverse la brume de
l' enclume
En transportant ma fumée
Un ouragan trace un ruisseau
où s' écoulent les veines
de vie
Chassant les tristes couleurs du mauvais
temps
Pourtant il était beau ce voilier
Il naviguait dans un chenal du
bonheur
il reflétait la beauté de
la vie
Avant de se perdre dans
l' infini

ramoule

je suis un voilier amarré dans le fleuve
du temps
Ma coque est le pilier de la chair humaine
Du haut de mon mât j' observe le bleu de
l'océan
Cahoté par les tempêtes et les vagues des
tourments
Mon regard perçant traverse la brume de
l' enclume
En transportant ma fumée
Un ouragan trace un ruisseau
où s' écoulent les veines
de vie
Chassant les tristes couleurs du mauvais
temps
Pourtant il était beau ce voilier
Il naviguait dans un chenal du
bonheur
il reflétait la beauté de
la vie
Avant de se perdre dans
l' infini

ramoule